Les chroniques de gérard hounkpègan

Chronique de GH : Codjo et la Prison Invisible

J’espère que cette chronique vous apportera de la valeur !

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Je suis Gérard, et aujourd’hui, je vais vous raconter une histoire. Une histoire courte, mais puissante. Celle de Codjo, un homme ordinaire, devenu l’artisan de sa propre libération.

Je vais m’appuyer sur cette citation deEdith Eger pour vous conter l’histoire de Codjo :

 » la victimisation vient de l’intérieur. Personne d’autre que vous ne peut faire de vous une victime. Nous devenons victimes non pas à cause de ce qui nous arrive, mais lorsque nous choisissons de nous accrocher à notre victimisation. Nous développons un état d’esprit de victime – une façon de penser et d’être rigide, culpabilisante, pessimiste, ancrée dans le passé, impitoyable, punitive et sans limites ni limites saines. Nous devenons nos propres geôliers lorsque nous choisissons les limites de la l’esprit de la victime. « 

Let’s goooooooooo

Los geht…………… !

Histoire de Codjo

Codjo avait tout perdu. Son commerce avait fait faillite, sa compagne était partie, et ses amis s’étaient peu à peu éloignés. Assis chaque matin devant sa petite maison délabrée, il répétait sans cesse : « La vie est injuste. Ce monde m’en veut. Personne ne m’aime. »

Chaque jour, il nourrissait cette douleur, comme on arrose une plante toxique. Il refusait l’aide, rejetait les conseils, accusait le monde entier – sauf lui-même. Un jour, un vieux sage du village s’arrêta devant lui et lui dit :
« Tu portes des chaînes invisibles, Codjo. Ce ne sont pas les événements qui t’emprisonnent, mais le regard que tu refuses de changer. »

Ces mots résonnèrent. Pendant des semaines, Codjo y repensa. Puis il fit un choix. Il arrêta de raconter son malheur. Il commença à apprendre. À s’occuper de lui. Il trouva du travail, se fit de nouveaux amis, et surtout : il cessa de se voir comme une victime.

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Pourquoi Edith Eger disait cela ?

Edith Eger est une survivante de l’Holocauste. Elle a connu l’enfer des camps nazis. Elle a tout perdu. Mais elle a compris une chose essentielle : ce n’est pas ce qui nous arrive qui nous détruit, c’est la manière dont nous choisissons d’y réagir.
Elle disait cela pour réveiller nos consciences : tant que nous restons enfermés dans la posture de la victime, nous donnons aux autres – ou au passé – le pouvoir de nous définir.

La leçon de vie à retenir

Je vous le dis avec le cœur : tant que vous restez prisonnier de l’esprit de la victime, vous vous empêchez de guérir, d’avancer, d’évoluer. La vraie liberté commence quand vous assumez votre pouvoir de choix, même dans la douleur.

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Conclusion

Alors chers abonnés, demandez-vous : suis-je en train de revivre mon passé ou de construire mon avenir ?

👉 Dites-moi en commentaire : avez-vous déjà été comme Codjo, prisonnier d’un récit de douleur ?
Et surtout… êtes-vous prêt à en sortir ? J’ai hâte de vous lire en commentaire.

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